La Bigorexie : l'addiction au sport, dépendance à l'activité physique
- Par Myriam Gorzkowski, mis à jour le 29/11/2024 à 08h11, publié le 28/11/2024 à 10h11
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La pratique du sport est reconnue pour être bonne pour la santé. En effet, pratiquer une activité sportive régulière permet de réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de diviser par deux le risque d'infarctus ou le risque d'arthrose. Il existe des circonstances dans lesquelles, le sport devient néfaste pour le corps et l'esprit. Depuis 2011, la bigorexie est reconnue comme pathologie par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et est définie comme une dépendance de l'être humain à l'activité sportive. Le sport peut procurer un sentiment de maîtrise, avec des progrès quantifiables qui peuvent donc déclencher une forme d'addiction. Pharma GDD vous explique ce qu'est la bigorexie, les symptômes, les causes, les divers effets néfastes et vous conseille pour éviter de tomber dans cet engrenage pouvant être dangereux pour votre santé.
La bigorexie correspond à la dépendance à l'exercice physique ou encore l'addiction au sport, résultant d'une pratique excessive et incontrôlable. Être addict au sport est un phénomène qui a été identifié dès le milieu des années 1970 par le docteur William Glasser. La bigorexie touche principalement les adeptes de sports d'endurance ou encore du culturisme. La bigorexie présente des caractéristiques communes à toutes les addictions comme l'alcoolisme, la toxicomanie, la nymphomanie, l’addiction au sexe ou la dépendance aux jeux vidéo. L'addiction au sport se définit par divers symptômes cognitifs, comportementaux et psychologiques semblables à ceux observés dans les dépendances aux substances. On peut distinguer des symptômes physiologiques, notamment des blessures récurrentes ou psychologiques, comme des sentiments négatifs en cas d'incapacité à s'exercer. On prend également en compte la fréquence et la durée de pratique, mais le symptôme le plus révélateur est le fait de continuer à faire de l'exercice indépendamment des blessures physiques, des inconvénients, des perturbations dans divers domaines de la vie, en particulier les problèmes conjugaux, les tensions ou interférences avec le travail et le manque de temps pour d'autres loisirs. Les personnes addicts au sport sont susceptibles de faire de l'exercice pour des récompenses intrinsèques et éprouver des sensations de privation dérangeantes pour elles lorsqu'elles sont dans l'impossibilité de faire de l'exercice.
On peut reconnaître une personne bigorexique par sa façon d'organiser ses journées autour de l'activité sportive et son obsession de ses performances ou de son poids. On peut observer des signes de manque en cas de sevrage du sport, notamment de l'anxiété et de l'irritabilité. D'après une évaluation de 2019, les personnes souffrant d'addiction au sport les plus touchées sont en premier lieu les athlètes d'endurance, viennent ensuite les joueurs de sports de balle (tennis, football, basket, rugby), puis les personnes fréquentant les centres de fitness ou encore les disciplines de force. Il n'est pas simple de dépister cette addiction en tant que personne tierce, car la courbe de poids n'est pas forcément alarmante. Cela demeure davantage dans le profil psychologique et le fonctionnement mental donnant des indices sur une potentielle dépendance. Ce n'est pas le temps passé qui est révélateur, mais davantage les répercussions sur la vie privée ou professionnelle :
La dopamine une substance présente dans toutes les addictions, influe sur le circuit cérébral de la récompense et joue sur le plaisir, le contrôle, la motivation et l'attention.
La sérotonine possède un rôle analgésique et intervient sur le sommeil, l'humeur, l'envie de manger.
Les endorphines est un opiacé naturel, anti-douleur, qui provoque un état euphorique et favorise la relaxation.
L'adrénaline, hormone du stress soutient la production de l'effort.
En conclusion, c'est cette chimie cérébrale avec ses impacts positifs et plaisants que recherche une personne bigorexique. Les hormones du bien-être sécrétées lors de l'effort avec un circuit de la récompense dit "dopaminergique" altéré par un terrain addictif. Plus la personne pratique du sport, plus elle est soumise à ces hormones, telle "une drogue", plus elle développe un seuil de tolérance élevé qui rend le "manque" plus rapide et plus important.
Les poche de froid
Les bombes de froid
La rééducation et les soins de kinésithérapie doivent être entrepris plusieurs jours après la blessure. Il faut plusieurs semaines pour que les muscles et les tendons se réparent.
La pratique excessive de sport va engendrer un épuisement physique généralisé pouvant être fatal, car le risque cardiovasculaire augmente allant jusqu'à l'infarctus. Ce trouble met le corps en danger à force de repousser ses propres limites, en allant toujours plus fort, plus loin.
Les jeunes filles prépubères soumises à un entrainement intensif précoce, subissent un décalage de la ménarche, période où apparaissent les premières règles, impactant aussi la croissance.
Des troubles de la fertilité peuvent aussi survenir.
En cas de grossesse, les risques sont majeurs dont un retard de développement, une fausse couche ou une souffrance fœtale.
Des traumatismes fréquents au niveau de la poitrine peuvent provoquer des hématomes et des abrasions sous-cutanées avec un risque de calcification.
L'objectif de la prise en charge est le réajustement de la pratique afin de ne pas mettre son corps en danger et de sortir de la dépendance. Il n'est pas question d'un sevrage complet avec abstinence, contrairement aux addictions aux drogues, alcool...
Une thérapie comportementale ou thérapie brève est mise en place et peut être accompagnée d'un traitement médicamenteux comme des anti-dépresseurs qui viennent agir sur les circuits cérébraux du stress et de la récompense, impliqués dans l'addiction.
Il faut écouter son corps et repérer les signes de fatigue tout en portant une attention aux sensations désagréables du corps pour éviter les blessures et l’épuisement. Écouter son corps permet de ralentir le rythme.
De plus, il est conseillé de pratiquer des activités douces et équilibrantes, notamment la méditation, le yoga, la sophrologie pour réduire le stress et optimiser la connexion du corps et de l'esprit. Cet aspect aide à améliorer l'estime de soi, à gérer les émotions et à influencer la sécrétion d'hormones et neurotransmetteurs liés au bien-être et au plaisir.
Bigorexie : définition
Bigorexie se compose du mot "big" qui signifie "gros" ou grand en anglais et du suffixe grec "orexis" signifiant "appétit", donnant l'expression grand appétit, dans le sens où la personne en veut toujours plus, ou encore "soif de grandeur".La bigorexie correspond à la dépendance à l'exercice physique ou encore l'addiction au sport, résultant d'une pratique excessive et incontrôlable. Être addict au sport est un phénomène qui a été identifié dès le milieu des années 1970 par le docteur William Glasser. La bigorexie touche principalement les adeptes de sports d'endurance ou encore du culturisme. La bigorexie présente des caractéristiques communes à toutes les addictions comme l'alcoolisme, la toxicomanie, la nymphomanie, l’addiction au sexe ou la dépendance aux jeux vidéo. L'addiction au sport se définit par divers symptômes cognitifs, comportementaux et psychologiques semblables à ceux observés dans les dépendances aux substances. On peut distinguer des symptômes physiologiques, notamment des blessures récurrentes ou psychologiques, comme des sentiments négatifs en cas d'incapacité à s'exercer. On prend également en compte la fréquence et la durée de pratique, mais le symptôme le plus révélateur est le fait de continuer à faire de l'exercice indépendamment des blessures physiques, des inconvénients, des perturbations dans divers domaines de la vie, en particulier les problèmes conjugaux, les tensions ou interférences avec le travail et le manque de temps pour d'autres loisirs. Les personnes addicts au sport sont susceptibles de faire de l'exercice pour des récompenses intrinsèques et éprouver des sensations de privation dérangeantes pour elles lorsqu'elles sont dans l'impossibilité de faire de l'exercice.
On peut reconnaître une personne bigorexique par sa façon d'organiser ses journées autour de l'activité sportive et son obsession de ses performances ou de son poids. On peut observer des signes de manque en cas de sevrage du sport, notamment de l'anxiété et de l'irritabilité. D'après une évaluation de 2019, les personnes souffrant d'addiction au sport les plus touchées sont en premier lieu les athlètes d'endurance, viennent ensuite les joueurs de sports de balle (tennis, football, basket, rugby), puis les personnes fréquentant les centres de fitness ou encore les disciplines de force. Il n'est pas simple de dépister cette addiction en tant que personne tierce, car la courbe de poids n'est pas forcément alarmante. Cela demeure davantage dans le profil psychologique et le fonctionnement mental donnant des indices sur une potentielle dépendance. Ce n'est pas le temps passé qui est révélateur, mais davantage les répercussions sur la vie privée ou professionnelle :
- Un comportement obsessionnel ;
- Un isolement social : Les bigorexiques sont dans une forme de déni augmentant le risque de blessure. Ils vont ritualiser la chose et refuser une soirée entre amis pour ne pas être fatigué le lendemain pour la séance. Le lien social se retrouve impacté.
- Un sacrifice de tout au profit du sport ;
- Une perte d'intérêt pour tout ce qui ne touche pas au sport ;
- L'argent dépensé de manière excessive dans la pratique sportive comme les protéines, l'équipement, l'abonnement à la salle de sport, des licences à un club ou encore d'alimentation saine.
- Une culpabilité et une irritabilité si la personne concernée ne parvient pas à effectuer tous les entrainements physiques qu'elle s'impose ;
- Continuer à pratiquer son activité physique malgré la connaissance des conséquences négatives sur la santé, notamment les risques de blessures graves, de recours à du dopage.
Bigorexie : les différentes causes de l'addiction au sport
L'addiction au sport débute en général par le désir de maintenir une bonne condition physique. Les individus perfectionnistes et narcissiques sont davantage sujets à évoluer vers ce trouble. Cette addiction est souvent associée à une dysmorphie, à savoir à une vision déformée de son propre corps, et ce quelle que soit sa transformation. Le patient dysmorphique a beau mincir ou se muscler toujours plus, il ne voit toujours que ses imperfections.Orthorexie et Bigorexie
La bigorexie peut avoir un lien avec les troubles alimentaires, notamment l'anorexie mentale ou la boulimie avec une obsession malsaine pour l'exercice. Un trouble de l'image corporelle peut alors contribuer à une dépendance à l'exercice. L'orthorexie va également entrainer la bigorexie. Ce trouble est un ensemble de pratiques alimentaires qui se manifeste par la volonté obsessionnelle d'ingérer une nourriture saine, et le rejet systématique des aliments perçus comme nocifs pour la santé comme la malbouffe. L'orthorexie ne concerne pas la quantité d'aliments ingérés, mais la qualité de la nourriture. La personne qui souffre d'orthorexie a un comportement très restrictif, avec une importante perte de poids, un sentiment de culpabilité lors de la transgression des règles qu'ils s'imposent à eux-mêmes. On retrouve des traits de la personne orthorexique et bigorexique de perfectionnisme, d'obsessionnel associé à la perturbation de l'image corporelle.Le facteur hormonal lié à la bigorexie
La dépendance à l'exercice sportif peut être due aux effets de modification de l'humeur de cette pratique qui va libérer de la dopamine directement dans la circulation sanguine. Le cerveau joue un rôle important et la perte de contrôle devient récurrente. À l'image d'une fringale, le mécanisme cérébral pousse le bigorexique à pratiquer le sport de façon compulsive de plus en plus dans son quotidien et dépasse facilement la barre des dix heures par semaine. Cette pratique intensive fait que l'organisme va produire une substance par 4 neurotransmetteurs favorisant l'extase du sportif. En allant se fixer sur des récepteurs, ils permettent la transmission de messages et d'informations entre neurones.La dopamine une substance présente dans toutes les addictions, influe sur le circuit cérébral de la récompense et joue sur le plaisir, le contrôle, la motivation et l'attention.
La sérotonine possède un rôle analgésique et intervient sur le sommeil, l'humeur, l'envie de manger.
Les endorphines est un opiacé naturel, anti-douleur, qui provoque un état euphorique et favorise la relaxation.
L'adrénaline, hormone du stress soutient la production de l'effort.
En conclusion, c'est cette chimie cérébrale avec ses impacts positifs et plaisants que recherche une personne bigorexique. Les hormones du bien-être sécrétées lors de l'effort avec un circuit de la récompense dit "dopaminergique" altéré par un terrain addictif. Plus la personne pratique du sport, plus elle est soumise à ces hormones, telle "une drogue", plus elle développe un seuil de tolérance élevé qui rend le "manque" plus rapide et plus important.
Comment diagnostiquer la bigorexie ?
Le diagnostic passe d'abord par plusieurs questionnaires permettant d'évaluer la pratique excessive, notamment l'Exercice Addiction Inventory (EAI) pour évaluer les éléments principaux pouvant aider à déterminer le trouble.- Je me sens anxieux(se) lorsque je suis incapable de faire de l'exercice.
- J'ai tendance à planifier ma journée autour de mes séances d'entraînement.
- Je me sens mal à l'aise si je manque une séance d'exercice.
- Je continue à faire de l'exercice même si je suis blessé(e) ou fatigué(e).
- Mes relations sociales sont parfois compromises à cause de mon engagement dans l'exercice physique.
- J'éprouve un sentiment de culpabilité si je saute une séance d'entraînement prévue.
- Je ressens le besoin de prolonger mes séances d'exercice pour obtenir le même niveau de satisfaction.
- Un risque d'être dépendants ;
- Des symptômes de dépendance ;
- Aucun symptôme de dépendance.
La bigorexie et ses effets dangereux sur la santé
La bigorexie est une addiction au sport qui peut entrainer une dépendance, des problèmes psychologiques, avoir un effet sur la santé et conduire à long terme à des problèmes physiques, notamment si la pratique est très intense.Bigorexie : épuisement général
L’asthénie, une grande fatigue se traduit par de l'anxiété, des tensions musculaires diffuses, de l'irritabilité ou l'absence d'émotions. Les manifestations cognitives entrainent des troubles de la mémoire, de l'attention ou de la concentration.Tendinite liée à la bigorexie
La tendinite est une inflammation d'un tendon entrainant une douleur, en particulier en cas de mouvement ou au toucher et parfois un gonflement. Il faudra utiliser une attelle, appliquer du froid et prendre des anti-inflammatoires non stéroïdiens pour soulager la douleur. Si la tendinite dure longtemps, un dépôt calcique peut se créer, entrainant une raideur, une fragilité et une vive douleur sans compter que l'articulation touchée peut se coincer lors d'un mouvement.Déchirure musculaire et bigorexie
La déchirure musculaire survient après un effort important lorsque la pratique sportive n'est pas adaptée à ses capacités physiques. Elle apparaît lorsqu’on s'entraîne au-delà de ses possibilités. Sa gravité varie, pouvant aller de la simple élongation, à la rupture musculaire et tendineuse, en passant par le claquage. L'activité physique doit être cessée immédiatement et le traitement débute systématiquement par une mise en repos, la pose d’une poche de froid ou d’une bombe de froid sur la zone douloureuse et la prise d'antalgiques.Les poche de froid
Les bombes de froid
La rééducation et les soins de kinésithérapie doivent être entrepris plusieurs jours après la blessure. Il faut plusieurs semaines pour que les muscles et les tendons se réparent.
Bigorexie : fracture de fatigue
La fracture de fatigue se produit après un stress répété et une utilisation excessive qui dépassent la capacité des muscles de soutien à absorber les efforts. Elle peut impliquer le fémur proximal, le bassin ou le membre inférieur, notamment les diaphyses des métatarses du pied. La fracture de fatigue proximale suggère la présence d'une maladie osseuse métabolique comme l'ostéoporose. Cette fracture apparaît lorsque le coureur change trop rapidement l'intensité et/ou le moment des séances d'entrainement.Bigorexie et Infarctus
Un infarctus, peut survenir dans les cas les plus sévères. Le fait de se dépenser et de dépasser ses limites devient un besoin obsessionnel, mais il faut garder à l'esprit que malgré le fait que le sport soit bénéfique pour le corps et l'esprit, il est important de garder un entrainement raisonnable.La pratique excessive de sport va engendrer un épuisement physique généralisé pouvant être fatal, car le risque cardiovasculaire augmente allant jusqu'à l'infarctus. Ce trouble met le corps en danger à force de repousser ses propres limites, en allant toujours plus fort, plus loin.
Bigorexie femme
La bigorexie chez la femme, va entrainer des troubles menstruels : des dysménorrhées, des règles abondantes ou irrégulières, en retard ou totalement absentes (aménorrhées).Les jeunes filles prépubères soumises à un entrainement intensif précoce, subissent un décalage de la ménarche, période où apparaissent les premières règles, impactant aussi la croissance.
Des troubles de la fertilité peuvent aussi survenir.
En cas de grossesse, les risques sont majeurs dont un retard de développement, une fausse couche ou une souffrance fœtale.
Des traumatismes fréquents au niveau de la poitrine peuvent provoquer des hématomes et des abrasions sous-cutanées avec un risque de calcification.
Comment soigner la bigorexie ?
La prise en charge de la bigorexie est pluridisciplinaire, c'est-à-dire qu'il est nécessaire de faire appel à plusieurs professionnels : addictologues, psychologues, diététiciens nutritionnistes pour un accompagnement complet.L'objectif de la prise en charge est le réajustement de la pratique afin de ne pas mettre son corps en danger et de sortir de la dépendance. Il n'est pas question d'un sevrage complet avec abstinence, contrairement aux addictions aux drogues, alcool...
Une thérapie comportementale ou thérapie brève est mise en place et peut être accompagnée d'un traitement médicamenteux comme des anti-dépresseurs qui viennent agir sur les circuits cérébraux du stress et de la récompense, impliqués dans l'addiction.
Comment faire du sport sans devenir une personne bigorexique ?
Se fixer des limites pour éviter la bigorexie
Lorsqu'on décide de pratiquer un sport régulier, il est important de se fixer des limites, de définir des créneaux de sport et de s'y tenir. Il faut également intégrer d'autres pratiques sociales et culturelles dans son emploi du temps pour maintenir un équilibre de vie.Il faut écouter son corps et repérer les signes de fatigue tout en portant une attention aux sensations désagréables du corps pour éviter les blessures et l’épuisement. Écouter son corps permet de ralentir le rythme.
Prévenir la bigorexie par un sommeil réparateur
Un sommeil réparateur est indispensable à l'organisme pour préserver son équilibre physique et mental. Il faut impérativement s'accorder des journées de repos, sans pratique sportive pour laisser un laps de temps suffisant à la récupération.Prévenir la bigorexie par les conseils d'un coach sportif
Un professionnel du sport peut vous aider à établir un programme sportif adapté et veiller à ce que la pratique soit raisonnable.De plus, il est conseillé de pratiquer des activités douces et équilibrantes, notamment la méditation, le yoga, la sophrologie pour réduire le stress et optimiser la connexion du corps et de l'esprit. Cet aspect aide à améliorer l'estime de soi, à gérer les émotions et à influencer la sécrétion d'hormones et neurotransmetteurs liés au bien-être et au plaisir.